Young Adonis

En pas de géant, vous vous lancez dans une séquence céleste. Votre ego assumé a fait écho dans vos foulées choisies. Des rochers et des rochers, ha ! En votre faveur. Un appel sans réponse sur les ailes d'Icare.

Vous les faufilez et les volez dans un tour rempli de passion.

Un voyage fait pas loin, suit de haute estime privé.

Vous ancrez votre pennon sur votre domaine éminent. Vous vous intronisez dans une prophétie sûre, et vous vous vantez toujours clairement,

"Oh, le soleil me bénit, et les étoiles, elles brillent toujours sur ma stature puissante."

Allumez votre lance et tirez de votre vantardise bien méritée.

Il n'y a pas de meilleur moment que maintenant, jeune Adonis.

Faites frémir les feuilles, grésiller à votre coup. Faites votre marque en douces huées mélodiques. Et affichez votre mosaïque verdoyante. Le monde est ton coquillage. la masse aux yeux de biche, votre acolyte. Cher pavo, comme tes rêves s'envolent effréné.

Ta seule source d'être, ma chère, au moindre regard ébahi et émerveillé, votre envie embrase votre cœur. Votre toison d'autosuffisance rassemble des coutures de sujétion et de pâmoison.

Calez votre épée à sa place. Gardez votre fierté à distance, priez, ne faiblissez pas la jugeote.

Oh-yeux de cristal, avec le temps, tu verras, C'est inutile de traquer. Vous avez planté votre graine. Son art se reflètera toujours.

Et bientôt mon cher Dorian, tu tomberas sur ce qui était, autrefois, le tien... --un l' ahurissement misérable une fois si doux.

- Gwynevierel

04.10.2022